La pointe sud de Kyushu

Ibusuki est une ville onsen qui est célèbre pour ses bains de sable, où les baigneurs sont enterrés dans du sable naturellement chauffé. La ville comprenait la pointe sud de la péninsule de Satsuma et le centre-ville principal se situe le long de la côte face à la baie de Kagoshima. Les bains de sable d’Ibusuki peuvent être appréciés dans un certain nombre d’hôtels et d’autres installations, mais le lieu de baignade le plus populaire est le grand bain de sable de Saraku, situé à environ un kilomètre de la gare d’Ibusuki. Après être restés enterrés pendant généralement 10 à 20 minutes, les invités se lavent le sable et entrent dans des bains de source chaude réguliers.

Bien que les bains de sable soient de loin l’attraction la plus célèbre d’Ibusuki, il existe un certain nombre d’autres activités auxquelles les visiteurs peuvent participer. L’histoire locale et la poterie sont exposées au musée Satsuma Denshokan, tandis qu’une autre expérience de baignade fantastique peut être appréciée au bains extérieurs de Healthy Land. À l’extrémité sud de la ville d’Ibusuki se trouve le cap Nagasakibana, qui possède un joli point de vue avec vue sur l’océan et le mont Kaimondake à proximité.

Chiran est une petite ville au milieu de la péninsule de Satsuma dans la préfecture de Kagoshima. Dans la ville se trouve un quartier de samouraïs préservé avec des maisons et des jardins qui remontent à environ 250 ans. L’emplacement isolé de Chiran à l’extrémité sud de Kyushu a permis au district de garder intacte une grande partie de son caractère historique. Le quartier des samouraïs préservé se compose d’une rue de 700 mètres de long dans le centre-ville de Chiran qui est parallèle à l’artère principale. La rue elle-même est très attrayante, avec les parois rocheuses et les haies des résidences et les collines boisées au loin. Contrairement à d’autres quartiers de samouraïs. , il est également exempt de poteaux téléphoniques et de voitures en stationnement qui nuiraient à l’atmosphère historique.

Sept jardins attachés aux résidences des samouraïs sont ouverts au public, tandis que les bâtiments eux-mêmes ne peuvent pas être visités. Les jardins sont relativement petits et conçus pour être vus depuis les résidences. Cinq des sept jardins sont de la variété Karesansui « Jardin sec ». deux autres, l’un comprend un étang et l’autre est composé d’arbustes taillés.

Dans la petite ville de Chiran vous trouverez aussi le musée Chiran Tokko (Chiran Tokkō Heiwa Kaikan) qui conserve des documents, des lettres et des effets personnels des membres du corps d’attaque spécial, également connu sous le nom de « pilotes kamikaze ». Situé sur le site d’une base aérienne d’où les pilotes ont décollé. pour leurs missions finales. Vers la fin de la Seconde Guerre mondiale, les forces armées japonaises ont eu recours à des attentats-suicides, dans lesquels les pilotes feraient délibérément voler leurs avions contre des navires de guerre ennemis. On espérait que ces attaques repousseraient les forces alliées tout comme les « vents divins » (kamikaze) Le nom officiel de ces unités d’attaque suicide était Tokko-tai (unités d’attaque spéciales).

Le musée ne cherche pas à glorifier les batailles des Tokko-tai, mais se concentre plutôt sur les détails personnels de la vie des pilotes. Lettres aux proches, lettres finales avant le départ, photos pendant les pauses d’entraînement et photos de chaque pilote Il y a, en plus, une quantité considérable d’informations techniques sur le Tokko-tai, y compris des avions récupérés et divers modèles.

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